Frères des arbres – L’appel d’un chef papou
Avec le chef papou Mundiya Kepanga
Format : Documentaire unitaire (90/52min)
Versions disponibles : VF, VI, VAnglais
Réalisation : Marc Dozier et Luc Marescot
Année de production : 2017
Coproduction : ARTE France
Diffuseurs : ARTE France, Ushuaïa TV
Soutiens : CNC, Procirep-Angoa, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Total, Musée de l’Homme, Muséum national d’Histoire naturelle, Pilotfly, Hévéa
Distribution : ZED
Chef papou originaire de la tribu des Hulis en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Mundiya Kepanga est une voix de la forêt qui pose un regard plein de poésie, d’humour et de philosophie sur la nature et les arbres. En partageant avec nous la prophétie de ses ancêtres, il nous alerte sur la situation de sa forêt primaire et le drame de la déforestation. Un message qui nous interroge sur l’avenir de l’Humanité, en nous rappelant que nous sommes, tous, les frères des arbres.
Mundiya Kepanga est un enfant de la forêt né sur le tapis de feuilles d’un ficus séculaire. À la première personne, à la façon d’un conteur traditionnel, c’est Mundiya lui-même qui nous raconte son histoire et celle de sa forêt primaire, l’un des sanctuaires naturels du globe. Avec poésie et tendresse, il partage son amour de la forêt mais dévoile également les ravages de la déforestation qui s’est dramatiquement accélérée dans son pays au cours des dix dernières années. Son parcours de défenseur de l’environnement le mène de son village isolé des Hautes-Terres aux plus grandes rencontres internationales : d’une réunion au Sénat aux colloques organisés à l’occasion de la COP21 jusqu’à l’Unesco au côté de l’acteur et activiste Robert Redford. Fort de ses connaissances du monde occidental, son regard s’inscrit comme un pont entre deux mondes. En rencontrant des enfants dans des écoles, des exploitants de bois français dans la forêt des Landes ou des scientifiques spécialiste de l’environnement, le petit chef papou devient peu à peu un ambassadeur de la forêt et une voix des peuples autochtones. Loin des statistiques et des rapports alarmistes, Mundiya invite simplement à porter un nouveau regard sur la nature et les éléments. Avec beaucoup de simplicité, il parle aux papillons, aux animaux empaillés et même à ses parures lorsque vient l’heure de s’en séparer. En offrant au Musée de l’Homme sa coiffe la plus précieuse, il porte un message dédié à tous les hommes de la planète : sa forêt est un patrimoine universel qui produit l’oxygène que nous respirons tous et qu’il faut sauvegarder.
Bonjour,
Allez vous le passer à nouveau sur Arte ou une autre chaîne.
Votre reportage doit être vu par le plus grand nombre de façon à prendre conscience de notre planète et pas seulement l’environnement au plus près de soi.
Félicitations
Bonjour Maya, il est déjà passé sur ARTE et sur d’autres chaines ! Il est régulièrement diffusé sur Ushuaïa TV.
Ich habe heute Notizen v. 2017 gelesen und sofort war dieser Film, der mich tief beeindruckt hat, wieder präsent…
Wald, ein lebendiges Thema, zur Zeit lese ich « die Wurzeln des Lebens » von R. Powers, empfehlenswert!
Bonjour,
Vers la fin du film, il est dit par Mundiya Kepanga que l’huile de palme sert à « l’alimentation ».
Mais en fait, elle est surtout importée pour le carburant. En France, cela représente + de 75% des importations d’huile de palme.
Le film parle de pillage des ressources en Papouasie mais ne parle que du bois…
Dommage, car des entreprises françaises pillent d’autres ressources tout aussi importantes là-bas et d’une manière tout aussi désastreuse.
Pourquoi n’est-ce pas au moins évoqué ?
Et là au générique, qui apparaît dans les financeurs ? Total…
Je cherche donc à savoir combien cela a coûté à Total pour que le réalisateur français fasse l’impasse sur ces informations plutôt déterminantes pour le public français, le principal destinataire de ce joli conte de fées…
Merci pour votre réponse.
Cordialement.
Bonjour Philippe, merci pour votre commentaire. Afin de vous répondre : effectivement, le film ne parle que du bois, il s’agit d’un choix de réalisation pour mettre en lumière un des problèmes majeurs du pays pour lequel des lois existent pourtant et ne sont pas respectées (corruption). Il est également compliqué, dans un film de 1H30 d’évoquer tous les sujets. Il est impossible d' »évoquer » seulement un sujet en audiovisuel, chaque sujet méritant sa part d’explications et donc d’images également. Pour la question sur Total : ils ont effectivement apporté un part au financement du film (moins de 8%) mais nous n’avons reçu leur soutien qu’après le tournage du film, ils n’ont absolument pas voulu influencer le propos que nous souhaitions tenir. Le film est donc tel qu’il serait même sans leur soutien. Au cas ou vous auriez d’autres questions, je vous invite à passer par mail directement : contact@latosensu.tv. Bien cordialement.
Est-ce qu’une partie des bénéfices est reversé à ce peuple pour l’aider dans son combat ?
bonjour, dommage il n’y a pas sous titrage fancais pour les peuples des sourds en france et belgique etc……
quelqu’un peut creer ou ajoute sous titrage francais, je l’achete
merci a vous willy
Merci infiniment pour ce magnifique, émouvant reportage, et je nous souhaite de tout cœur, que tous les êtres humains comprennent l’importance vitale de ce message.
Merci encore
Anna Martella
Vous dite qu’on peut voir le film gratuit mais je n’ai pas trouvé. Où on dois chercher? Merci du renseignement anna.martella27@gmail.com
Bonjour Anna, voici le lien pour voir le film gratuitement mais attention, ce n’est que jusqu’au 28 janvier : https://greenpeacefilmfestival.org/film/frere-des-arbres/?fbclid=IwAR3FEpA3RDyNUqP_6p47pDgweJRkWqvnkF6LlTef4-zxArG1MzdZpMz7CRE
[…] Frère des arbres: http://www.latosensu.tv/freresdesarbres/ […]
Je suis touchée
J’ai vu ce soir le reportage sur Arte. J’étais en larmes à l fin lorsqu’il voit tous les animaux dans le musée et qu’il leur parle. C’est un homme vraiment extraordinaire. Merci pour ce beau reportage plein d’amour et d’humanité
Bonjour Anne, je pensais être la seule à avoir eu la même réaction que vous. Ce reportage est somptueux et doit être vu par le plus grand nombre.